Ruby on Rails 2.0
11 12 2007
Un an et demi s’est écoulé depuis la 1.1. Le changelog est à la mesure du changement de numéro de version.
Toutes ces nouveautés paraissent bien utiles, malheureusement je n’ai plus le temps de suivre de près l’évolution de ce langage.
En effet, ces derniers temps font que je penche désormais beaucoup du coté .NET, mais je reste attaché profondément aux valeurs portées par ce framework. (Un jour peut-être que j’y reviendrais…)
C’est pour cela aussi que je vois venir avec grand intérêt le framework ASP.NET MVC dont les personnes à l’origine sont également fans de Rails.
Petite liste des fonctionnalités « inspirées » :
- Séparation des rôles : Possibilité de tester la couche Controlleur sans conteneur web
- Hautement extensif et pluggable : Comme tout est à base d’interfaces, il est facile d’intégrer un moteur d’injection de dépendance
- URL Mapping Natif : Idem des routes de Rails
- Moteur de template pour la couche présentation
- etc.
Tant mieux si Ruby on Rails peut apporter sa philosophie dans d’autres environnements, tout le monde y sera gagnant.
Bonjour,
Je m’interesse fortement à Ruby on Rails, seulement je ne suis qu’un débutant et certains tutos que j’ai trouvé sur le net ne fonctionne plus avec la version 2.0.
C’est pourquoi j’ai voulu acheter un livre, mais je ne trouve aucun livre abordant Ruby on Rails 2.0, il est peut-être encore trop tôt… A moins que vous en connaissiez ???
PS : Super Blog, concernant toutes l’actualités de Ruby on Rails 😉
Effectivement, il n’existe pas de livre sur cette version. J’en suis resté à la « vieille » version du « Agile Web Development with Ruby on Rails »…
Si un lecteur a une proposition récente qu’il n’hésite pas !
http://railscasts.com/ très bien fait et surtout des tuto pour rails 2.0 😉
Autre source également :
Rails 2.0 – What’s a Newbie to Do?
Merci, pour ces sites, il vont m’être utile en attendant la sortie d’un livre concernant cette dernière version de Ruby on Rails.
Moi je trouve dommage d’abandonner Rails pour .NET
Dans ma vision, quitter l’open source pour le propriétaire, c’est quitter la liberté pour la prison dorée, donc accorder bien peu de valeur au fondamental pour faire la part belle au superficiel.
Personnellement, j’ai fait exactement l’inverse.